Le vendredi 15 novembre, les 3 classes de 5ème sommes allés au Bird Center d'Urdaibai. Où on a vu le Butor étoilé, qui est un oiseau qui se cache sous les plantes qui ont la même couleur que ses poils. On a aussi vu la spatule blanche. Ils nous ont expliqué les trajets des differentes migrations des oiseaux. Aussi, les systémes pour mesurer les conditions climatiques, qui se mesurent grâce a des grands globes, qui sont lancées chaque jour a douze heures du matin. On a aussi observer l'Héron garde-bœufs. Ils nous ont montré les diferentes projets qu'Urdaibai Bird Center est entrain de mêner avec eux: avec des GPS, des anilles...Dans le Bird Center, on peutn trouver une toure de 18 mêtres d'hauteur. Dans la zone oú les oiseaux vivent, ont trouve deux observatoires.Les oiseaux sont a Urdaaibai a des diferentes périodes de l'année. Et ça c'est la fin du voyage à l'Urdaibai Bird Center.
Et là une petite video sur l'Urdaibai Bird Center
dimanche 24 novembre 2013
dimanche 27 octobre 2013
Les ecosystemes a Urdaibai: La "ría de Mundaca"
L'estuaire de Mundaka est le coeur de cet endroit extraordinaire,
déclaré par l'UNESCO Réserve de la Biosphère en 1984. Les 12 km de
grèves étendues qui forment l'embouchure du fleuve et où se mêlent de
l'eau douce et salée, sont une des zones humides les plus importantes du
Pays basque. En plus, les environs sont d'un grand intérêt
international, vue qu'ils sont un endroit de repos et d'hibernation de
nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs rares dans la Péninsule
Ibérique, comme le héron cendré, le cormoran, la spatule et un grand
nombre de limicoles, des oiseaux qui se nourrissent avec des animaux qui
vivent dans le limon et le sable.
L'estuaire est le coeur de la Réserve. Les deux routes qui partent de Gernika, l'une vers Bermeo
et l'autre en direction de Laga-Elantxobe, longent l'estuaire sur ses
deux rives.
À l'est de l'estuaire, se dresse
l'imposant massif calcaire du cap Ogoño, où habitent le cormoran huppé
et le faucon pèlerin. À ses pieds sýétend la plage de Laga, qui conserve encore de précieux
spécimens de la flore psammophyte (caractéristiques des dunes et des
sables). Face à l'embouchure de la ria se dresse solitaire l'île
d'Izaro, un élément emblématique du paysage, qui abrite une importante
colonie nidificatrice de goélands à pattes jaunes, outre celle
d'aigrettes.
Aux heures de la marée basse, de
vastes plages restent à découvertes, outre celle de Laida
près de
l'embouchure, qui seront ensuite couvertes par la marée montante. En
amont, on peut
apprécier une bonne partie des marais.[1]
Site (1): nekatur.net
Consulté le: 23/10/13
Disponible sur: http://www.nekatur.net/Espacio-natural.aspx?id=12&lang=fr-FR
Site (1): nekatur.net
Consulté le: 23/10/13
Disponible sur: http://www.nekatur.net/Espacio-natural.aspx?id=12&lang=fr-FR
lundi 21 octobre 2013
La Photosynthèse
La photosynthèse a pour but de créer de l'énergie (sous forme de glucide) à partir de l'énergie lumineuse provenant du soleil. Les organismes qui utilisent le mécanisme de photosynthèse sont autotrophes car ils fabriquent des matières organiques à partir de matières inorganiques.[1]
Site (1): Futura sciences.com
Consulté le: 21 octobre 2013
Disponible sur: http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/botanique-photosynthese-227/
samedi 12 octobre 2013
La Spatule Blanche
Nom Latin: Platalea leucorodia
Nom Français: Spatule Blanche
Nom Espagnol: Espátula
común
Nom
Basque: Mokozabal zuria
Nom Anglais:
Eurasian
Spoonbill
Habitat: La
Spatule Blanche, habite les zones humides côtières, avec des
étendues d'eau peu profondes. Niche
en colonies, sur les arbres
généralement, mais aussi dans autres végétations.
Régime
Alimentaire: La Spatule Blanche s’alimente de :
-têtards
-larves
d'insectes
-crustacés
-vers
-mollusques
-végétaux
Zone de
nidification: Le nid, fabriqué avec des petites
branches, est situé dans les roseaux ou dans un arbre. La femelle pond de 3 à 5
œufs entre avril et mai.
Zone d’hivernage: Les Spatules blanches descendent vers le sud
pour passer l'hiver en Afrique de l'Ouest. Quelques oiseaux hivernent en
Espagne ou en France.[1]
Le Courlis Cendré
Nom Latin: Numenius
arquata
Nom Français: Courlis
Cendré
Nom Espagnol: Zarapito Real
Nom Basque: Kurlinta handi
Nom Anglais: Eurasian Curlew
Habitat: Mères,
cotes et estuaires.
Régime
Alimentaire: Dans la cote, des petits mollusques,
crustacées, petits poissons, et quelques fois des algues. Et quand ils sont plus vers la
« terre », des insectes et des larves, mollusques, et des
graines.
Zone de
nidification: Le Courlis Cendré se reproduit dans le
centre de l’Europe , mais aussi des fois en France.
Zone d’hivernage: Le
Courlis Cendré, hiverne en France, dans la Péninsule Ibérique, et dans le nort
de l’Afrique. [1]
Oeuf du Courlis Cendré |
Un Courlis Cendré |
Site (1): Pajaricos.es
Consulté le: 12 octubre
Disponible sur: http://www.pajaricos.es/z/z1/zarapitoreal.htm
samedi 28 septembre 2013
Les plantes invasives en Bizcaye
Problèmes
L’herbe
de la Pampa fait aujourd’hui partie des 150 plantes invasives répertoriées sur
l’Hexagone par les botanistes. Sont considérées comme invasives par l’Union
mondiale de la Nature (UICN), les espèces exotiques, végétales ou animales,
qui, implantées dans un milieu d’où elles ne sont pas naturellement issues, se
reproduisent plus rapidement que les espèces endémiques. Selon l’UICN, elles
seraient la troisième cause de perte de la biodiversité à travers le
Monde. Présente au Pays Basque depuis au
moins le 19ème siècle, l’herbe de la Pampa a commencé à poser problème il
y a une trentaine d’années. Une grande résistance à la plupart des parasites et
des maladies, ainsi que l’absence de prédateurs, lui permettent de se
développer à loisir au détriment de la flore locale, moins résistante, avec qui
elle rentre en compétition directe pour les nutriments du sol, l’eau, la
lumière et l’espace. D’après le conservateur du Domaine d’Abbadia, Ganix
Grabières, « la plante n’est pas nocive en elle-même, même si quelques cas
d’allergies ont été dénombrés. Mais pour certains milieux sensibles, son
expansion est un véritable fléau ».[1]
Solutions
«
On ne réussit pas à l’éradiquer. On peut juste essayer de limiter son expansion
» précise G. Grabières. « En milieu isolé, le plus efficace est de la déraciner
ou de la brûler car il ne suffit pas de la couper une année pour qu’elle ne
repousse pas». Mais le déracinement n’est pas aisé en milieu naturel sensible
où il risque de faire au moins autant de dégâts sur la flore alentour que la
plante elle-même. Quant au feu, il est inconcevable sur des zones comme la
lande maritime. J. Breton ajoute « qu’il a même été essayé de la mettre sous
bâche pour l’étouffer… sans succès. Même privée d’eau et de lumière pendant des
mois, elle est capable de repartir de plus belle ». A Abbadia comme au jardin
botanique de Saint-Jean-de-Luz, on enlève donc un maximum d’inflorescences sur
les spécimens en présence pour les empêcher de fleurir et de grainer. Se
faisant généralement à la main, l’opération est longue et fastidieuse.[2]
Site (1): Pays Basque info
Consulté le: 28 septembre 2013
Disponible sur: http://www.paysbasqueinfo.com/eu/component/content/article/519-le-fleau-de-la-pampa.html
Site (2): Pays Basque info
Consulté le: 28 septembre 2013
La migration des oiseaux à Urdaibai
Pourquoi
les oiseaux migrent
Tous les oiseaux n'effectuent pas de grandes migrations
et chez l'étourneau ou le rouge gorge, tous les individus ne s'envolent pas à
l'approche de l'hiver ! Mais pour les oiseaux qui migrent, le moment du départ
sonne lorsque leur habitat n'est plus assez riche en nourriture et que le
climat devient trop rigoureux. Ils s'envolent en groupe même pour ceux qui
vivent seuls le reste du temps, et ce, une fois qu'ils ont accumulées suffisamment
de réserves. Ce voyage n'est pas définitif : la migration comprend un vol
retour dès l'arrivée des jours meilleurs mais pas toujours par le même chemin.[1]
Migration
a Urdaibai
Déclarée Réserve de la Biosphère par l’UNESCO en 1984,
ses prés humides, ses jonchaies et sa zone intermarées constituent un site
stratégique de repos pour les oiseaux qui suivent les côtes atlantiques
européennes dans leur migration. De nombreuses espèces de limicoles peuvent
ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les canards et le balbuzard
pêcheur.
Les oiseaux hivernants y sont nombreux, surtout lors des
vagues de froid pendant lesquelles la ria et ses alentours constituent un
refuge d'importance vitale pour une grande quantité d'oiseaux septentrionaux,
parmi lesquels certains ne sont présents que très occasionnellement sur la
Péninsule ibérique [2]
Site (1): Espace sciences
Consulté le: 28 septembre 2013
Disponible sur: http://www.espace-sciences.org/archives/science/16309.html
Site (2): Birding Pays Basque
Consulté le: 28 septembre 2013
Disponible sur: http://birdingpaysbasque.com/menu2.aspx?IdSP2=QmayJf2rtFiveWGlowC6EA==&IdMP2=gEk9cIZJsgAzHnJO0pV+aQ==&IdSP=yeRzuP7ogF+EKmq8n6WtuQ==&IdMP=FDo1qPcjwrrlGuz1VCst1Q==& vendredi 20 septembre 2013
Toujours plus de déchets
L’augmentation
de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses
naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées
L’augmentation
de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point
que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en
terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.
Mais
qu'appelle-t-on déchet?
Tout
produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour
la personne qui le possède.
Le
niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque
chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le
concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet
quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.
Et
l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne
cessent d'augmenter.
De
tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec
notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.
Agriculture et faim monde
Dans
les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la
production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes
souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion
démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une
augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en
train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir
que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement
est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture
intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans
raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et
d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais
aussi risques alimentaires réels.
Derrière
cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le
marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie,
propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.
lundi 16 septembre 2013
L’agriculture en question
Dans la mesure ou
nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base
de notre culture, notre civilisation.
Tout au long du
20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont
lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois
un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais
chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».
Ces systèmes
intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie,
cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux
contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour
notre santé.
La globalisation
impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de
nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à
émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte
de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.
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